Pétition en ligne pour la préservation du RSI, du nouveau

Pour faciliter la diffusion de la pétition nationale de défense du RSI, nous lui avons associée un lien court.  Ainsi pour signer la pét...

Halte au sabotage de la protection sociale des indépendants !

Après la diffusion par la Caisse Nationale des précisions sur les grandes lignes que veut tenir le Gouvernement pour le démantèlement de notre régime social, le Comité National exhorte les 912 administrateurs du RSI à ne pas se résigner docilement devant l'incohérence et l'extrême dangerosité du plan du Président de la République et de son Gouvernement.


Le projet de la découpe du RSI et l'éparpillement de ses services dans le "puit sans fond" du régime général des salariés, et la destruction du guichet unique spécifique pour les indépendants sont inacceptables en l'état, et ne seront pas acceptés par les 912 administrateurs du RSI qui ont été élus par les 2,8 millions d'entreprises cotisantes et les 6,7 millions d'assurés, afin de répondre à leurs aspirations et pour défendre leurs intérêts et leurs droits sociaux. 
En effet, il faut bien sortir de l'ENA pour envisager de faire faire la queue aux entrepreneurs indépendants; d'abord à la CPAM pour l'assurance maladie, ensuite à la CARSAT pour la retraite, et enfin à l'URSSAF pour régler leurs cotisations...


Devant cette ineptie et cet amateurisme, le Comité National pour la Promotion et la Défense du RSI demande instamment au Président Louis Grassi de fixer sans plus attendre la date rapprochée d'assises nationales à Paris, et de convoquer les 912 administrateurs des Caisses Régionales dans les premiers jours ​d'octobre, pour que soit décidé un "plan de bataille" pour s'opposer sous toutes les formes possibles à ce projet gouvernemental mal ficelé et mal pensé, qui porte gravement atteinte à la protection sociale des indépendants ,pour se faire entendre, les administrateurs doivent multiplier les initiatives régionales et nationales afin que le Gouvernement et le Président de la République comprennent qu'ils doivent revoir leur copie pour, en étroite concertation avec les représentants des assurés, réfléchir à d'autres pistes après l'adoption d'un "moratoire" pour éviter une deuxième catastrophe industrielle et sociale qui est inévitable s'ils persistent 


​Le Porte Parole du Comité National 

Jacques Gerbault 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire